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Organisée sous les auspices du Fonds des Nations Unies pour la Population (UNFPA), une délégation composée du Dr. Florence Guillaume membre du Cabinet de la Présidence, du Dr. Bertrand Sinal, Président de la Commission Santé de la Chambre des Députés et du Dr Ramiz Alakbarov, prochain Représentant de l’UNFPA en Haïti, ont participé la semaine dernière à une rencontre internationale de haut niveau, à New-York.
Cette rencontre était axée sur les moyens de contraception et la santé de la reproduction. Il en est ressorti entre autres, qu'une bonne gestion de ces moyens est essentielle pour réduire la mortalité maternelle et faciliter l’accès des femmes aux services de planification familiale. Lancé par l’UNFPA en 2007, un tel programme offre un cadre pour aller au-delà des réponses ponctuelles aux ruptures de stocks et privilégier des approches durables quant à la sécurisation et l’utilisation des fournitures essentielles.
A partir du 31 octobre prochain, le monde devrait compter sept milliards d’habitants, dont 1,8 milliard seront des jeunes vivant à 90% dans des pays en voie de développement « Cela veut dire qu’un milliard de jeunes femmes, recherchent activement les informations et les services dont nous parlons » a expliqué le Dr. Babatunde Osotimehin, Directeur exécutif du FNUAP.
À l’issue de cette rencontre des experts participants, ont affirmé, que les femmes souhaitent « éviter ou espacer les grossesses, mais n’ont pas accès aux méthodes modernes. » Selon ces experts, la méthode « la plus efficace » pour sauver la vie des femmes, est une planification familiale volontaire et la mise à leur disposition de suffisamment de contraceptifs.
Les 12 pays représentés à cette rencontre par des Ministres des Finances et de la Santé ainsi que des parlementaires, étaient le Burkina Faso, Haïti, l’Ethiopie, le Laos, le Mali, Madagascar, la Mongolie, le Mozambique, le Nicaragua, le Niger, le Nigeria et la Sierra Leone.
S/ HaïtiLibre
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