Des nos jours, ils sont plus 210, 000 de personnes avouant être Haïtiens sur le site. Dès la fermeture temporaire de Hi5, ils se sont tous données rendez-vous sur ce réseau social.
Dorénavant, l'internet pour la grande majorité d'Haïtiens se résume à Facebook le site à plus de 850milllions de membres à travers le monde.
Facebook, donc la majorité d'internautes Haitiens sont accros développe trois grandes problématiques vis-à-vis des internautes Haitiens.
La problématique Éducative.
Rare sont les jeunes Haïtiens qui vont sur internet pour faire une recherche la preuve si vous tapez le nom d'un de nos écrivains sur Google ou autre moteur de recherche, peut-être une centaine de pages apparaîtront sur la toile, tout contrairement à un écrivains Dominicains ou Guadeloupéens.
Près de la moitié des jeunes internautes Haïtiens ne peuvent pas faire une recherche sur un sujet quelconque pire encore de vous énumérez 10 sites d’internets autres que Facebook, allez-y faites l’expérience 60% ne pourront pas le faire.
Un autre fléau, c'est le langage " Tchat" beaucoup de professeurs se plaignent."g ht 1 tel" vas vous écrire un jeunes internautes Haïtiens ou encore "g s8 an klas". Je ne généralise pas le cas mais c'est une vérité qui est dure à avaler, "j'ai acheté un portable" et " je suis en classe" est maintenant trop long à écrire. Comme l'a dit Aristote " l'habitude est une seconde nature" on retrouve maintenant cet langage dans les feuilles d'examens, des dissertations, des rédactions, etc...
La problématique Politique
Le " voye monte" est dorénavant le point fort des Haïtiens sur le Web prennez cette phrase par exemple " Nèg palman an se volè yo ye", "Gèt manman Martelly massisi". Nos politiciens semblent ne pas être au parfum comment ont sali leurs noms sur Facebook. Attendez vous à quand vous partagez un articles sur Facebook des commentaires comme ceux-ci "Get manman Martelly ou Lambert, Youri, Steven, Moise, etc...", " Se pou Martelly tiye tout palmanté yo", "se pou nèg palman yo retire Martelly sou pouvwa a". Excusez moi pour ces propos mais ils étaient nécessaires pour vous faire une image de ceux qui se passe sur Facebook.
La problématique sociale
Les problèmes sociaux sont extrêmement gravissime de mon point vu. La majorité des jeunes femmes Haïtiennes sur Facebook ont qu'un dessein commun recherche d'homme étranger pour un mariage et le femmes Haïtiennes de l'étranger recherche d'homme en Haiti. Facebook est devenu à leurs yeux un moteur de recherche " de nèg".
Les jeunes hommes ne sont pas innocents non plus à leurs tours, ils cherchent des femmes. Ceux d’ici cherchent des femmes dans la diaspora et ceux de la diaspora les femmes en Haiti.
Sur mon compte Facebook par exemple un jeune homme m'a écrit sur mon compte Facebook " Yo ban yon fan'm non men" je le reconnais même pas et c'est notre première conversation sur Facebook vous voyez la gravité de la chose. En pire des homosexuels qui se trouvent sur la toile et mettant des photos de sexes opposés pour attirer les agneaux dans la gueule du loup.
Autres problèmes les photos. Près de 20% des photos sont vulgaires. Et on y trouve des commentaires assez pervers.
Pire encore le "Tripotay", ils ne cessent pas de bouillir les "Zins" sur Facebook exemple de phrases " ou pa wè sandal ki nan pyè' m nan foto a", " se la bèl vi w'ap menmen ak nèg ou", "Cheri voye # ban'm". Ils s'appellent depuis leur portable pour dire "mwen sou Face la wi se foto yo m'ap ga2 ou t fan'n pwogran lan", "Li pa lèd ti gason non, li gen bèl ti bouch, li samble gen kob tout wen wè se miami l'ap viv".
Le fléau a augmenté à l'arrivée du géant Vietnamien Natcom qui fournit l'internet gratuit sur le téléphones mobiles, qui fait qu'actuellement nos internautes nous dictes leurs horaires de tout les jours " FB m'ap fè manje kounye a", " FB mwen sot jwe boul".
Bien qu'il ya une grande majorité de personnes qui vont pour faire ceux que j'ai cité antérieurement, mais il y a cette minorité qui va pour faire de très bonnes choses.
Elisma Jean-Marc
Laissez nous vos commentaires en bas
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire