
Le sénateur accusateur qui affirme avoir été induit en erreur par certains de ses consultants, fait appel à la compréhension du diplomate français.
Il s’est engagé à vérifier les informations qui lui seront parvenues la prochaine fois avant de les rapporter à la presse.
Par ailleurs, le 2e sénateur du Nord refuse d’accepter son éjection de la commission spéciale d’enquête sur la nationalité des hauts dignitaires de l’Etat.
Il ajoute « n’avoir jusqu’à présent été informé officiellement de cette mesure qui, selon lui, a été adoptée de façon unilatérale par le sénateur Joseph Lambert », président de ladite commission.
Le sénateur Jean Charles Moïse se considère toujours un membre à part entière de la commission et entend se présenter aux prochaines réunions.
Vision2000