Les deux hommes venaient d'Algérie
Confirmant l'arrestation de deux personnes «dangereuses» révélee plus tôt par la télévision nationale, le ministère tunisien de l'Intérieur a précisé dimanche qu'il s'agissait «d'un Libyen et d'un Algérien venus d'Algérie».
«L'Algérien s'appelle Abou Muslum (31 ans) et le Libyen, Abou Batine (32 ans)», détaille le ministère dans un communiqué, ajoutant : «Lors de leur arrestation, l'un a voulu lancer une bombe manuelle et l'autre a tenté de faire exploser une ceinture d'explosifs.
Selon une source au ministère de l'Intérieur, cette arrestation a été suivie de la découverte d'armes et de munitions dans une grotte de la région de Khedech à Médenine, à une quarantaine de kilomètres de Tataouine. La source a indiqué que les deux suspects avaient avoué avoir caché «une quantité d'armes et munitions dans plusieurs endroits en Tunisie».
Un cas isolé ?
Fondée en 2007 par Abdelmalek Droukdal, Aqmi affiche comme objectif la révolution islamique dans les pays du Maghreb et du Sahel. Selon un politologue tunisien, Slah Jorchi, «l'introduction de deux membres d'Aqmi en Tunisie est un cas isolé qui pourrait cependant indiquer que la Tunisie pourrait être visée par le réseau d'Al-Qaïda vu l'état de dérive sécuritaire dans le pays qui peut attirer ses membres à commettre des opérations terroristes».
Selon une source au ministère de l'Intérieur, cette arrestation a été suivie de la découverte d'armes et de munitions dans une grotte de la région de Khedech à Médenine, à une quarantaine de kilomètres de Tataouine. La source a indiqué que les deux suspects avaient avoué avoir caché «une quantité d'armes et munitions dans plusieurs endroits en Tunisie».
Un cas isolé ?
Fondée en 2007 par Abdelmalek Droukdal, Aqmi affiche comme objectif la révolution islamique dans les pays du Maghreb et du Sahel. Selon un politologue tunisien, Slah Jorchi, «l'introduction de deux membres d'Aqmi en Tunisie est un cas isolé qui pourrait cependant indiquer que la Tunisie pourrait être visée par le réseau d'Al-Qaïda vu l'état de dérive sécuritaire dans le pays qui peut attirer ses membres à commettre des opérations terroristes».
LeParisien.fr
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