Un menu bien particulier a été proposé aux convives aux gouts sensibles… A travers une mise en scène de Bernard Labarre, Ti Djo Zenny, chanteur-comédien, a bien joué sa partition, du début jusqu’à la fin du spectacle. Alan Cave, comme toujours a marqué le maximum de points possibles dans les cœurs en laissant sa veste de charmeur pour motiver l’assistance au « Kouraj ». Rony Jolicoeur, peu connu en Haïti, n’a pas démérité et a fait bonne impression. Dans une interprétation magistrale de la chanson « Lumane » de Carole Deminsmin, Nadège Dugravil s’est surpassée tant à titre de chanteuse que danseuse. Venu des Antilles françaises, spécialement pour le concert, Eric Virgal, haïtien de cœur, a embrasé le public qui a entonné en chœur son super hit «coupable »…
Jacques Sauveur Jean, ministre du compas, prince de l’amour, qui a déserté les scènes depuis quelques temps, a repris son tube « Haïti chérie », ce qui a soulevé l’assistance, heureuse de voir le président de la République, ancien président du compas se laisser emporter par la musique et danser a corps perdu. Shoubou, notre patriote du Tabou Combo, a été le plus ovationné, l’interaction entre lui et la foule a été presque palpable. B.I.C, créolophone impénitent, coqueluche des étudiants n’a pas lésiné sur les moyens pour calculer le taux des problèmes du peuple haïtien, une manifestation de plus de son génie artistique. Père et fils Benjamin, ont constitué la dernière part qui garnissait la table et se sont révélés exquis dans ces muqueuses avides de bonnes notes.
La cerise sur le gâteau a été la prestation du président de la république, son excellence, M. Michel Martelly, qui, pour clore la manifestation par les remerciements d’usage et ses propos à l’endroit de ses invités a repris sa tenue d’artiste et a prouvé à ses fans que son baryton tient encore, qu’il a changé de statut, mais qu’il est encore et toujours artiste dans l’âme. Les étudiants ont dansé de la bonne musique, chanté a cœur joie… Est-ce le début d’une lune de miel ? L’avenir seul le dira, mais un bon signe pour l’unité d’un peuple qui ne peut plus continuer dans la division.
Jacques Sauveur Jean, ministre du compas, prince de l’amour, qui a déserté les scènes depuis quelques temps, a repris son tube « Haïti chérie », ce qui a soulevé l’assistance, heureuse de voir le président de la République, ancien président du compas se laisser emporter par la musique et danser a corps perdu. Shoubou, notre patriote du Tabou Combo, a été le plus ovationné, l’interaction entre lui et la foule a été presque palpable. B.I.C, créolophone impénitent, coqueluche des étudiants n’a pas lésiné sur les moyens pour calculer le taux des problèmes du peuple haïtien, une manifestation de plus de son génie artistique. Père et fils Benjamin, ont constitué la dernière part qui garnissait la table et se sont révélés exquis dans ces muqueuses avides de bonnes notes.
La cerise sur le gâteau a été la prestation du président de la république, son excellence, M. Michel Martelly, qui, pour clore la manifestation par les remerciements d’usage et ses propos à l’endroit de ses invités a repris sa tenue d’artiste et a prouvé à ses fans que son baryton tient encore, qu’il a changé de statut, mais qu’il est encore et toujours artiste dans l’âme. Les étudiants ont dansé de la bonne musique, chanté a cœur joie… Est-ce le début d’une lune de miel ? L’avenir seul le dira, mais un bon signe pour l’unité d’un peuple qui ne peut plus continuer dans la division.
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