Le footballeur Mikaël Silvestre, ex-international français d'origine guadeloupéen jouant actuellement au sein du Werder Brême, devrait se rendre en Haïti ce mois-ci pour inaugurer un centre de formation professionnelle situé à Croix-des-Bouquets.
Ce projet a été financé par une vente aux enchères, et grâce à l'aide de ses anciens partenaires d'Arsenal, des joueurs de Chelsea et à son apport personnel. Le projet d'un montant total de 170.000€ a permis de monter cette école en Haïti, la première promotion est composée de 60 jeunes filles et garçons âgés de 14 à 18 ans, qui apprennent la menuiserie, la plomberie et l'électricité.
« Le but, c'est de leur dire qu'on a besoin d'eux, que le pays a besoin d'eux, car l'aide extérieure est venue mais là, on leur met vraiment les outils entre les mains pour la reconstruction de leur pays, en les formant à différents métiers » explique Mikaël Silvestre.
Mr. Silvestre a déjà monté des centre similaires en Guinée, au Niger, au Laos et au Sénégal grace au support qu'il a reçu de l'UNESCO depuis 2005. « J'essaie de redonner un peu de ce j'ai reçu dans mon enfance car j'ai eu la chance d'être scolarisé, d'apprendre à lire, écrire et de pouvoir en même temps être formé au foot... » conclut le footballeur.
BF/ HaïtiLibre
Ce projet a été financé par une vente aux enchères, et grâce à l'aide de ses anciens partenaires d'Arsenal, des joueurs de Chelsea et à son apport personnel. Le projet d'un montant total de 170.000€ a permis de monter cette école en Haïti, la première promotion est composée de 60 jeunes filles et garçons âgés de 14 à 18 ans, qui apprennent la menuiserie, la plomberie et l'électricité.
« Le but, c'est de leur dire qu'on a besoin d'eux, que le pays a besoin d'eux, car l'aide extérieure est venue mais là, on leur met vraiment les outils entre les mains pour la reconstruction de leur pays, en les formant à différents métiers » explique Mikaël Silvestre.
Mr. Silvestre a déjà monté des centre similaires en Guinée, au Niger, au Laos et au Sénégal grace au support qu'il a reçu de l'UNESCO depuis 2005. « J'essaie de redonner un peu de ce j'ai reçu dans mon enfance car j'ai eu la chance d'être scolarisé, d'apprendre à lire, écrire et de pouvoir en même temps être formé au foot... » conclut le footballeur.
BF/ HaïtiLibre
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire