La réunion de San José réunissait des évêques représentant les Etats-Unis, le Mexique, le Panama, le Honduras, le Guatemala ainsi que des représentants de Caritas Internationalis et un certain nombre d’experts en matière d’émigration.
La lettre des évêques aux autorités, exprime « leurs préoccupations face aux rapatriement subies par des Haïtiens, et l’insécurité politique et économique, que provoquent leur expulsion de ces États qui représentent pour eux une source d’emploi » la lettre, poursuit le GARR, recommande l’arrêt du « flux d’extradition » vers Haïti et ce, jusqu’à ce que le pays puisse se remettre de l’impact du séisme qui a frappé aussi bien Port-au-Prince que d’autres villes haïtiennes, le 12 janvier 2010.
Enfin, les évêques espèrent que des mesures d’asile vont être maintenues jusqu’à ce qu'Haïti soit en mesure d’accueillir à nouveau ses ressortissants.
S/ HaïtiLibre
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