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Le 18 mai est aussi la fête de notre avenir. Celle de l'Université. Cette Université qui n'est plus celle de l'Etat seulement, mais s'est démocratisée. Est devenue multiforme. A proliféré.
Pour le meilleur et pour le pire.Le meilleur, car des cadres valables en sortent chaque année. Peuvent poursuivre n'importe où dans le monde leur formation sans avoir à rougir devant quiconque.
Il sort aussi de nos universités, ou du moins n'en sortent pas, des étudiants handicapés pour la vie. Ces accidentés du savoir qui n'avaient pas les bases et n'ont pas pu acquérir le reste.
En ce 18 mai, c'est à eux qu'il nous faut penser. A ces étudiants à qui des professeurs sont forcés de donner des notes pour qu'ils passent les cours, sinon leur établissement ferait faillite ou les professeurs seraient révoqués pour cause d'insuffisance de résultat.
Si trop d'étudiants ou d'élèves ne réussissent pas un cours, une classe, c'est sans aucun doute le professeur le problème, n'est-ce pas ?
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